LA SCèNE POST-GéNéRIQUE DE THE PREDATOR: KILLER OF KILLERS ANNONCE UNE SUITE TRèS ATTENDUE PAR LES FANS
L’univers Predator bousculé : deux films, une surprise
À la surprise générale, cette année devait être marquée par un seul long-métrage très attendu de la saga Predator. Pourtant, le public a eu droit à un cadeau inespéré : non pas un, mais deux films inédits. D’un côté, l’animation avec Predator: Killer of Killers — initialement perçue comme une simple mise en bouche avant le plat de résistance que promet Predator: Badlands, blockbuster live-action annoncé pour novembre 2025.
Contre toute attente, l’anthologie animée s’est imposée comme un opus majeur de la franchise, séduisant d’emblée les amateurs du genre. Et ce n’est pas tout : son audacieux final semble poser les jalons de suites ambitieuses, changeant la donne pour l’avenir du mythe.
Naru captive : révélations et croisements inattendus
Revenons sur un point clé : le sort réservé à Naru, héroïne combative de Prey. Si beaucoup pensaient que son récit avait trouvé une conclusion définitive, un détail glissé dans « Killer of Killers » chamboule cette certitude. Dans une scène post-générique habilement orchestrée, alors qu’Ursa est reconduite en cryostase sur une planète inconnue des Yautja, elle croise furtivement Naru — incarnée par Amber Midthunder — endormie dans une capsule voisine. Le clin d’œil est limpide : la guerrière Comanche est bel et bien tombée aux mains des prédateurs extraterrestres après sa victoire apparente.
Killer of Killers : trois destins liés par le sang
Au cœur du film animé se tissent trois récits distincts portés respectivement par Ursa la Viking (Lindsay LaVanchy), Kenji le samouraï japonais (Louis Ozawa) et Torres, pilote américain de la Seconde Guerre mondiale (Rick Gonzalez). Chacun survit in extremis à sa traque sanglante avant d’être capturé puis exhibé comme trophée vivant sur une planète-arène où règne la loi des Yautja.
Le dernier acte du film orchestre leur réunion en terre inconnue. Deux pistes s’offrent alors :
・Torres et Kenji, libres dans l’arène, ouvrent la voie à une potentielle suite centrée sur leur évasion.
・Naru et Ursa, endormies côte à côte, évoquent une suite possible mêlant personnages emblématiques venus d’époques différentes.
Un futur ouvert pour Predator
Le réalisateur Dan Trachtenberg, déjà maître d’œuvre de « Prey », n’a jamais caché ses envies de prolonger cet univers. Même si rien n’a été officialisé quant à une éventuelle suite, cette pirouette scénaristique suggère fortement qu’une nouvelle aventure « Prey » pourrait voir le jour… hors de notre planète bleue. En attendant des annonces plus concrètes, « Predator: Killer of Killers » est disponible en streaming sur Hulu. Quant à « Predator: Badlands », il faudra patienter jusqu’au 7 novembre 2025 pour en découvrir toutes les promesses.
Un twist inattendu qui relance brillamment l’intérêt autour d’une franchise décidément loin d’avoir livré tous ses secrets.
A lire aussi
・La scène d’action phare de Ballerina rivalise d’ingéniosité avec les meilleurs moments de John Wick
・Prime Video lève le voile sur sa nouvelle adaptation de comics, successeur potentiel de The Boys
2025-06-08T18:43:03Z